Être bien dans son poids peut être une démarche parfois simple. Cependant, un régime est inefficace, pire il entretien et aggrave votre surpoids.
Le corps est malin, si on le prive de nourriture, il se venge. Je vous propose une autre voie, car chacun a le droit d’être gourmet.
Apprendre à Mincir c’est possible et en plus c’est facile, car si ce n’était pas facile cela serait alors déjà moins possible. Et pour que cela soit possible et facile, l’hypnose peut être utile.
C’est un formidable outil pour les troubles du comportement alimentaire mais ce n’est qu’un outil et pas une thérapie. Ce n’est pas une baguette magique qui vous enlèverez toute responsabilité dans le changement désiré (le remède serait alors pire que le mal).
Mais cet outil hypnotique est primordial, pour l’approche du traitement émotionnel, pour lever des verrous.
La naturopathie vient ensuite compléter la thérapie avec ses outils liés à l’alimentation, la phytothérapie, l’aromathérapie, la gémmothérapie, la mycothérapie, la micro-nutrition…. Sans oublier la pratique de la sophrologie
Comme il n’existe pas de frontière entre le corps et l’esprit, la naturopathie et l’hypnose sont donc complémentaires. Et c’est une bonne nouvelle car particulièrement pour le poids, le corps et l’esprit doivent apprendre à se parler.
C’est ainsi que faire appelle à thérapeute à la fois hypnotiseur et naturopathe, devient un jeu gagnant-gagnant.
Le naturopathe ne prescrit pas, il ne vous délivre pas de médicaments, il vous conseille pour votre bien être et vous guide pour une hygiène de vie, une alimentation optimale.
Bienvenue dans le monde merveilleux de votre zoo intestinal, où les bactéries ont toujours une petite faim. Et où l’équilibre entre le prébiotique et le probiotique est aussi délicat qu’une danse de salon entre microbes affamés.
Alors, avant de lancer un casting pour la nouvelle saison de « Qui veut peupler mon ventre ? ». Préparons un festin pour la faune intestinale déjà en place.
En termes sophistiqués, cela signifie : avant de recruter de nouveaux employés, assurons-nous que le bureau soit bien équipé et que la machine à café soit prête.
Alors, voici comment concocter un banquet gastronomique pour vos locataires microbiotiques sans faire exploser le budget du labo. Mais en soutenant votre épicerie du coin (après tout, la proximité est la clé, n’est-ce pas ?).
Nourrir sa faune intestinale
Vous pouvez trouver ces délices dans votre supermarché préféré, tels que :
Les aliments riches en fibres : les asperges, ces fines baguettes naturelles, les poireaux, courges (parfaites pour les fêtes d’Halloween intestinales), haricots, abricots (les cousins exotiques des prunes),
Mais aussi
Les bananes (les humoristes de la jungle alimentaire), kiwis (pour une petite touche d’exotisme). Les pommes (une invitation à la fête), noix (les snacks chics du microbiote), céréales complètes (pour une expérience culinaire entière)…
Les victuailles riches en oméga-3 et 9 : l’huile d’olive (le trésor méditerranéen), l’avocat (le légume à la mode), les poissons gras (les célébrités des mers)…
Les aliments riches en polyphénols : les épices (les stars épicées du show gastro), les fruits secs (les comiques aride de la troupe).
Les fruits rouges : fraises (les rockstars de la salle de concert intestinale), framboises (les divas des baies), myrtilles (les intellectuelles de l’équipe), cassis (les voisines d’à côté qui sont toujours invitées), raisins (et le vin rouge pour les soirées VIP),
Sans oublier
Les prunes (les douces romantiques), grenades (les explosifs du réfectoire). Les canneberges (les petits lutins acidulés). Et certains autres fruits comme les mangues (l’ajout exotique) et les pommes (les classiques indétrônables).
Les légumes de saison : tomates (les artistes polyvalents), oignons (les farceurs de la bande). Les brocolis (les intellectuels du jardin), choux (les danseurs de la salsa intestinale), artichaut (ce sourd de la feuille)…
Les légumineuses : lentilles (les marathoniennes de l’intestin), pois (les petits pois tout mignons). Le soja (à consommer en douceur le soir, comme une berceuse pour l’estomac).
Les céréales complètes : riz complet (le céréale sérieux), farines semi complète (les pâtissiers intestinaux). Les pâtes complètes (les acteurs des spaghettis de la digestion)…
Les oléagineux : amandes (les funambules de la nutrition), arachides (les cacahuètes de la party), graines de lin et de sésame (les graines du succès), olives et huiles d’olive (le mariage parfait de la Méditerranée).
Les épices : en particulier le curcuma (la star épicée qui sait comment chauffer la piste).
Le thé vert et le café (les agents secrets de l’éveil intestinal).
Le chocolat noir (l’invité de luxe pour les soirées spéciales).
Alors pour nourrir sa faune intestinale, c’est en se régalant de ce festin gastronomique que nos charmantes bactéries vont faire la fête, se multiplier comme des lapins en discothèque. Et ainsi transformer votre intestin en une scène digne d’un spectacle de Broadway, avec des bactéries bénéfiques qui dansent la samba pour votre santé. Alors, bon appétit à votre zoo intestinal, et n’oubliez pas de lui donner un standing ovation de temps en temps !
Intestins et probiotiques ! quel est le lien ? Car les probiotiques cela ne marche pasmonsieur .
Pas bien choisi
Eh bien, vous avez raison de le penser, les probiotiques que votre gastro-entérologue vous prescrit sont parfois comme des bouées en plomb dans une piscine en caoutchouc – pas très efficaces. Ne jetez pas la faute sur votre doc, il ne peut pas faire de la magie quand il s’agit du Syndrome de l’Intestin Irritable (SII).
Le doc peut souvent balancer les probiotiques recommandés par les laboratoires pharmaceutiques, comme un enfant donnant des biscuits à son chien et espérant qu’il parle.
Les bactéries utilisées pour traiter ce syndrome sont souvent moins bien choisies que votre musique de karaoké préférée un soir de vendredi. La densité de ces petites créatures est généralement plus rare qu’une licorne à deux têtes, alors qu’elle devrait être plus dense qu’une foule en colère devant un buffet gratuit (450 milliards par sachet).
La posologie est aussi légère qu’un souffle de vent dans une tempête, alors qu’elle devrait être proche de la consommation d’un gamin affamé de bonbons, c’est-à-dire quatre sachets par jour pendant au moins huit semaines.
Pas suffisant
Intestins et probiotiques est-ce suffisant ? Non, car prendre des probiotiques sans leur donner des prébiotiques en parallèle, c’est un peu comme avoir une voiture de course sans essence. Vous pouvez l’admirer dans votre garage, mais elle ne vous mènera nulle part. C’est comme avoir un magnifique poisson rouge et ne jamais lui donner à manger dans son bocal. Devinez quoi ? Il finira par rejoindre le paradis des poissons.
Cependant, si vous nourrissez vos probiotiques avec des prébiotiques (que vous pouvez trouver dans la nourriture, pas besoin de les commander sur Amazon), alors là, ça devient une fête dans votre intestin !
Les probiotiques font des claquettes pour contrer la Dysbiose (c’est un mot super compliqué pour dire « désordre dans la population du royaume ») et rétablissent l’équilibre naturel entre les bactéries qui nous aiment, celles qui veulent bien cohabiter et celles qui sont juste des voisins toxiques.
Ne pas s’en priver
Ils ne sont peut-être pas aussi miraculeux qu’un tour de magie, mais ils font un sacré boulot pour soulager vos symptômes.
Fini les douleurs abdominales qui vous faisaient ressembler à un ballon de baudruche, adieu au transit chaotique qui vous transformait en coureur de fond de toilettes, et bonjour à une qualité de vie familiale meilleure que celle d’une famille de dauphins en vacances.
Maintenant, soyons honnêtes, tout cela a un coût, et cela nous renvoie à cette grande question : médecine de riche contre médecine de pauvre. C’est comme offrir à certains une limousine en or massif et un vélo à trois roues aux autres. Mais pas de panique je m’occupe également des vélos à trois roues.
Alors, rions un peu de cette bataille intestinale et espérons que nos probiotiques fassent des miracles, même s’ils n’ont pas encore appris à jongler ! »
Les critiques de la naturopathie sont courantes, on peut citer :
Un manque de preuves scientifiques. L’absence de preuves n’est pas la preuve de l’absence. De plus les preuves manquent car les études manquent et elles manquent car la priorité des moyens financiers ne vont pas vers ces études, les molécules de synthèses sont par trop juteuses. Cependant, l’empirisme existe et la sagesse populaire également. Enfin, les recherches, les publications et les preuves tendent à se multiplier.
Une absence de réglementation et de normes. C’est vrai et c’est à regretter, mais là c’est un choix politique poussé par le lobby de l’ordre des médecins et des laboratoires.
Un rejet des traitements conventionnels. C’est faux, un naturopathe correctement formé doit toujours agir en complémentarité avec le médecin traitant et ne doit jamais vous faire arrêter un traitement en cours.
Une commercialisation excessive des produits. C’est vrai et faux. Un bon naturopathe cherchera toujours à vous faire dépenser le moins d’argent possible tout en gardant l’efficacité de ses conseils. On pourrait rajouter que c’est également le non remboursement qui pose problème.
Fausses critiques de la naturopathie
Un naturopathe n’est pas un médecin et un médecin n’est pas un naturopathe. Nous avons une approche holistique et prenons en compte l’ensemble de l’individu, y compris son corps, son esprit et son mode de vie. Nous mettons l’accent sur la prévention et l’autogestion de la santé là ou le médecin traitera la maladie et ses symptômes.
(Photo de Tingey Injury Law Firm sur Unsplash)
Je vous invite à vous poser sur ma rubrique spécifique de ce site et pour trouver un praticien fiez vous au syndicat des professionnels de la naturopathie SPN
La douleur apprivoisée tel est l’objectif de cet article . L’épisode 1 indiquait que l’usage du PEA permettait de mieux gérer ces douleurs, mais il existe bien d’autres compléments susceptibles de vous aider. En voici un panorama non exhaustif.
La trousse essentielle
Le GABA ((ou acide gamma-amino-butyrique), neuromodulateurs majeurs du système nerveux agit comme un anxiolytique naturel qui favorise le sommeil, la détente et la relaxation musculaire. Il calme, comme nos propres endorphines, certaines douleurs . Notamment si cela est du à de d’anxiété.
je recommande de prendre des compléments de GABA dosé à 250 mg , à raison de 1 à 3 gélules par jour, en fin de journée ou deux heures après le dîner. Il existe si besoin des comprimés de GABA dosés à 750 milligrammes . Précisons que le GABA n’a pas de contre-indication à ces doses
L’ASHWAGANDHA est une plante majeure en naturopathie. Notamment en situation de stress et de douleurs chroniques. L’extrait d’ashwagandha amoindrit l’effet des cytokines (les cellules inflammatoires), donc les douleurs en général. Mais à éviter en cas d’hyperthyroïdie
LES OMEGA-3 constituent un véritable climat permettant de lutter contre les douleurs inflammatoires. Pour assurer un apport régulier, consommez deux à trois fois par semaine des petits poissons des mers froides comme les anchois, les sardines, le maquereau, la morue, la truite, le saumon. Utilisez régulièrement les huiles de colza ou de noix, et évitez des apports excessifs en oméga-6 que l’on trouve dans les produits transformés, les viennoiseries, les pâtisseries.
LES MAGNESIUM associés à la vitamine B6 et à la Taurine ont un effet antalgique pour les douleurs de la fibromyalgie ou les maux de têtes et les règles douloureuses. Mais attention tous les magnésium ne se valent pas et un choix éclairé est primordial. Certains sont très peu assimilables ou peuvent même provoquer des problèmes intestinaux.
La trousse complémentaire
La douleur apprivoisée par les plantes
La Grande Camomille pour soulager les maux de tête. Mais déconseillée avec les anticoagulants et antiagrégants plaquettaires
La Boswellia Serrata pour les douleurs articulaires (arthrose et/ou arthrite) .
Le Curcuma efficace également pour les douleurs articulaires (arthrite, arthrose, arthrite rhumatoïde, tendinite) . À la dose de 500 milligrammes par jour, il contribue à soulager les douleurs d’estomac, d’intestin ou de côlon, avec des ballonnements plus ou moins prononcés, ou même le syndrome de l’intestin irritable. Sachez cependant qu’il est contre-indiqué en cas de problèmes hépatiques ou la prise anticoagulants.
L’ Harpagophytum est reconnue pour soulager les douleurs de l’arthrite inflammatoire. Prudence avec la prise d’anticoagulant, les hypoglycémiants, les anti-hypertenseurs, les anti-arythmiques. Prudence également en cas d’insuffisance rénale. A éviter chez la femme enceinte et allaitante.
La douleur apprivoisée par les bourgeons (gemmothérapie)
Le bourgeon de cassis (ribes nigrum) a un effet anti-inflammatoire et antalgique contre toutes les douleurs et allergie. En raison de cette action, il remplace avec succès les anti-inflammatoires classiques (cortisone) sans en présenter les effets secondaires néfastes. Il agit aussi efficacement par voie interne contre les suites de piqûres d’insectes et en cas de douleurs articulaires inflammatoires.
Le bourgeon de pin (pinus montana) est un remarquable antalgique des grosses articulations (genoux, hanches), en cas d’arthrose non-(ou peu) inflammatoire.
Le bourgeon de vigne rouge (vitis vinifera) est un très bon antalgique des petites articulations, en particulier des doigts lors d’arthroses déformantes.
Le macérât de bourgeons de Sapin pectiné (abies pectinata) favorise la croissance ainsi que la calcification osseuse. Il est très utile en cas de fracture.
En conclusion
Les effets de ces produits ne sont pas immédiats et vous devez donc parfois vous armer de patience et bien connaître les indications et les meilleures associations. C’est pourquoi l’usage de ces compléments ne doit se faire que sous le contrôle d’un médecin, ou d’un naturopathe correctement formé.
Un plus
En complément de ces recommandations L’HYPNOSE apprend à mieux apprivoiser les douleurs. Et cela tombe bien je suis naturopathe & hypnothérapeute.
Voici un site que j’apprécie pour la santé au naturel : le bon choix santé
Pour apprivoiser sa douleur, il existe de nombreux « antidouleurs » naturels et sans toxicité qui peuvent éviter de prendre des médicaments (ces derniers ont des effets secondaires bien connus). Le plus important d’entre eux est le PEA (endocannabinoïde-like). Il est souvent comparé au CBD dont il représente une alternative sûre.
Cliniquement prouvé
Dans les années 1990, la lauréate du Nobel, le Dr Rita Levi-Montalcini , a démontré pour la première fois que le PEA pouvait contrôler les cellules inflammatoires hyperactives dans de nombreuses maladies et qu’il jouait aussi un rôle primordial dans la perception de la douleur.
Utile pour
Pour apprivoiser sa douleur, le PEA est utile pour :
Les douleurs neuropathiques périphériques : sciatiques, lombalgies, névralgies, syndrome du canal carpien, sclérose en plaques, zona, neuropathies diabétiques ou celles reliées à la chimiothérapie ;
Les douleurs inflammatoires : arthrose et autres douleurs ostéoarticulaires
Les pathologies dans lesquelles la sensibilité à la douleur est exacerbée : douleurs pelviennes (endométriose, syndrome prémenstruel, dysménorrhées), fibromyalgies, migraines, syndrome de l’intestin irritable ;
Chez les personnes prenant des antalgiques non opioïdes ou opioïdes, qui ne sont pas (ou mal) soulagées, ou qui ne souhaitent pas en prendre.
Les troubles dépressifs majeurs. La prise de PEA augmente les taux de dopamine dans le cerveau, ce qui permet de diminuer les comportements dépressifs.
Les troubles du sommeil. Le PEA semble agir également sur le temps d’endormissement et d’améliorer la cognition au réveil.
Posologie
Prendre des gélule dosées à 400 milligrammes. Je conseille 1 à 3 gélules par jour, en dehors ou au cours du repas, pendant 6 semaines, puis une dose d’entretien de 2 gélules par jour. Sachez cependant qu’il faut souvent attendre deux mois de supplémentation pour bien évaluer ses bénéfices.
Vous pouvez trouver du PEA par exemple ici (j’ai confiance en cette marque)
Mise en garde
Je vous invite à faire attention, l’usage du PEA ne doit se faire que sous le contrôle d’un médecin qui vous connaît bien, ou d’un naturopathe correctement formés qui se mettra en contact avec votre médecin.
L’hypnose en complément
L’hypnose est une pratique essentielle en complément du PEA car elle apprend à mieux apprivoiser les douleurs, en permettant de modifier leurs perceptions.
Il existe une bombe à retardement quand je broie du noir. En effet dans l’épisode 1, je vous ai invités à faire la différence entre anxiété, déprime et dépression. C’est une chose importante car soigner peut parfois rendre malade. Jugez plutôt.
Docteur je ne dors pas, et hop un somnifère ! Docteur je stress, j’ai des angoisses, je suis anxieux, et hop un anxiolytique….
Je broie du noir ! la bombe est prête.
C’est une bombe à retardement car très souvent dans mon cabinet je reçois des personnes qui sont sous anxiolytiques depuis des mois, voir des années et il en est de même pour les somnifères.
Pourtant les Autorités de Santé ne cessent de le répéter : l’usage prolongé des anxiolytiques et somnifères (pour la plupart composés de benzodiazépines ou molécules apparentées) représente un véritable risque, à terme, pour la santé. Elle est d’ailleurs officiellement limitée à 4 semaines pour les somnifères (ou hypnotiques) et à 12 semaines pour les anxiolytiques.
Et cependant, il s’avère que ces recommandations ne sont pas respectées et trop s’en écarter peut conduire à de véritables dangers :
Je broie du noir ! la bombe éclate.
Amnésie, dite antérograde (une perte de la mémoire des faits récents, dont les effets sont proportionnels aux doses),
États de perte de contrôle de soi-même et de sa conscience après les prises,
Troubles divers de l’attention et de la mémoire,
Dépendance ou accoutumance qui va rendre difficile et douloureux le sevrage qui devra être « accompagné » par un médecin compétent et justifie donc une très grande prudence quant à l’utilisation prolongée de ces médicaments.
Par ailleurs de nombreuses études mettent en avant le risque de provoquer ou accélérer l’évolution d’une maladie d’Alzheimer quand ces médicaments sont pris pendant une durée supérieure à six mois.
Je broie du noir ! faire autrement.
Ce risque est d’autant plus grand que plusieurs médicaments sont associés, ce qui est malheureusement le cas de nombreuses personnes. Il est donc urgent de ne pas abordez les états dépressifs légers à modérés par des médicaments !
Et si c’est le cas, il est aussi urgent d’apprendre à s’en séparer (sous contrôle médical) et de trouver d’autres solutions.
C’est ce que nous verrons dans l’épisode 3. Bien entendu dans le cas d’une dépression sévère diagnostiquée par un médecin, c’est une toute autre histoire.
Faire face à la dépression d’accord mais en France, il y aurait deux fois plus de prescriptions d’antidépresseurs que de dépressifs réellement diagnostiqués. C’est cette surconsommation, cette surprescription, qui a porté un discrédit compréhensible sur l’efficacité de ces médicaments.
Sans oublier que ces surconsommations, surprescriptions représentent une manne financière qui attire de nombreux laboratoires.
Sans oublier que cela représente un véritable risque, à terme, pour la santé.
C’est donc avec raison que nous devons essayer de mieux faire. C’est tout l’objet des épisodes qui vont suivre.
Ne confondez pas déprime, dépression et anxiété.
face à la dépression, même pour un médecin compétent, il n’est jamais facile de différencier anxiété, déprime et dépression. L’anxiété peut être une forme de manifestation de la dépression. Et la déprime passagère un arbre qui cache la forêt.
Le recours à des « anxiolytiques » médicamenteux ou plus « naturels » peut être justifié temporairement, mais, à terme, s’ils sont la conséquence d’un trouble dépressif, c’est ce dernier qu’il faudra prendre en charge globalement.
face à la dépression, pas d’automédication !
face à la dépression, je ne le répéterai jamais assez ne faites pas de l’auto-prescription et personne , autre que le médecin, ne peut vous diagnostiquer dépressif . Et seulement après vous pourrez partir à la recherche d’un professionnel considéré comme compétent.
face à la dépression, un choix complexe !
Thérapie seule ?
Traitement médicamenteux seuls ?
Mesures nutritionnelles et traitements non médicamenteux seuls ?
Thérapie, mesures nutritionnelles et traitements non médicamenteux ?
Thérapie et traitement médicamenteux ?
Choix éventuel d’une Thérapie et/ou d’un antidépresseur ?
Les antidépresseurs ne sont pas à diaboliser et ce ne sont pas des anxiolytiques . Je vous conseille à ce sujet cet article
La dépression un danger de mort !
Ne négligeons, ni pour nous-mêmes, ni pour notre entourage, le risque suicidaire ! N’en soyons pas le complice direct ou indirect.
Faites confiance au thérapeute que vous aurez choisi, c’est la première des conditions pour avancer. Faites-lui part de tous vos risques associés et surtout de vos premières réactions au traitement, sans l’arrêter précipitamment. Puis évaluez ou faites évaluer vos progrès par votre entourage proche.
Croyez-moi, c’est en connaissance de cause que je vous l’affirme : j’ai vu souvent des traitements complémentaires, a priori sans danger, qui, en association avec des médicaments, pouvaient provoquer des effets secondaires (heureusement réversibles).
Il est donc essentiel de se tourner vers un professionnel sérieux et qui ne confond pas approche complémentaire à la médecine avec l’illusion souvent dangereuse d’en être une alternative.
Suivez prochainement l’épisode 2 : Soignez peut rendre malade.
Arthrose naturopathie et hypnose, 3 mots pour un seul lien. Le domaine de la rhumatologie est très vaste et c’est une spécialité rencontrée quotidiennement en médecine générale.
Une voie complémentaire possible.
Il est possible d’affirmer que les résultats en naturopathie sur le long terme sont meilleurs qu’avec des médicaments, surtout dans les arthroses ou le médecin n’a que peu de solutions.
Cependant notre prescription ne doit pas se limiter à quelques plantes anti-inflammatoires très médiatisées mais à agir en terme de prévention et d’action sur le terrain physiologique, émotionnel et psychologique.
Je vous invite cependant à éviter le piège de l’automédication sauvage (publicité par internet, boîtes aux lettres, revues diverses) et faire appel à un professionnel formé qui agira de concert avec le corps médical.
Global pour être efficace.
Il s’agira d’un travail sur l’alimentation, l’hygiène de vie, mais aussi un accompagnement avec la phytothérapie, l’aromathérapie, la micro-nutrition…
Par une action de drainage, primordial dans ces maladies chroniques, douloureuses, génératrices de déchets qui contribuent à dérouiller le patient (vous avez bien lu, c’est bien un terme médical. Cela ne s’invente pas).
Par l’individualisation de l’accompagnement, en tenant compte du passé médical et de l’état actuel de la personne et notamment des interactions et contre indications possibles avec les traitements en cours.
Cet accompagnement donnent des résultats constants si le patient n’est pas entraîné dans un miroir aux alouettes, par des faiseurs de rêves voir de cauchemars.
L’hypnose l’autre outil de votre naturopathe
Il en est de même pour l’hypnose afin d’apprendre à contrôler la douleur. Naturopathie et Hypnose ne sont pas une alternative à la médecine mais une complémentarité. Je veille aux respects des traitements en cours et a un suivi médical de qualité. Je ne garanti pas des articulation de jeunot , mais de bien mieux vivre avec sa pathologie, sans doute.
Arthrose naturopathie et hypnose, sont donc bien 3 mots qui se conjuguent en terme de solutions possibles.
Parlons enfin de naturopathie et hypnose pour les seniorset personnes âgées
Apparemment, on nous dit que l’on vit plus vieux. Certes, c’est sans doute une bonne nouvelle même si cette tendance semble s’inverser actuellement et que les disparités sociales sont criantes.
Vivre plus vieux est une chose mais bien mieux vivre est sans doute le défi de ce siècle.
Pour nos aînés les maux physiques sont légions avec leur cortège d’impacts sur la santé mentale, émotionnelle ou psychologique. Il est donc primordial d’agir sur l’ensemble du tableau en privilégiant bien entendu la prévention aux traitements.
Naturopathie et hypnose pour les seniors et personnes âgées cela ne s’improvise pas.
Cela exige aussi, une connaissance particulière de ce public, avec des séances adaptées aux maux des seniors et des personnes âgées.
Thérapeute, hypnothérapeute et naturopathe, j’accompagne de manière globale et en douceur, les seniors et nos aînés, en cabinet ou à domicile (si nécessaire).
Un travail de prévention ou d’action afin de lutter contre notamment : la perte de vitalité, la fonte musculaire, la prévention des chutes, les problèmes cognitifs et de mémoire, les douleurs articulaires, les soucis oculaires et auditifs ou dentaires. Mais aussi pour les troubles de l’humeur ou l’affaissement des désirs du quotidien.
Ce n’est évidemment pas une alternative à la médecine mais une complémentarité. Je veille aux respects des traitements en cours et a un suivi médical de qualité.
Je ne garantit pas l’élixir de jouvence, mais de bien mieux vivre sans doute, avec la naturopathie, une prise en charge thérapeutique et une hypnose pleine de douceurs.
